/image%2F1498808%2F20151126%2Fob_13efeb_img-0471.jpeg)
Oooooh que non !
On ne s’arrêtera certainement pas de se réunir… à 2, à 10, à 100, à 1000… à des millions ! Pour se battre contre toute cette merde, pestilentielle s’il en fut! Ou tout simplement pour vivre, d’ailleurs… L’oublierait-on?!
Perso j’ai peur, enfin… un peu quand même, ce serait malhonnête de ne pas être tourmenté de l’arbitraire du genre du 13 novembre dernier, constatant que ça pouvait survenir là, tout près, aux amis d’amis d’amis, aux amis d’amis, aux amis, aux siens… à soi…
Alors non ! Je ne m’arrêterai pas, la Ferme du Bonheur ne s’arrêtera pas, d’aller notre chemin, notre petit chemin, très simple : entretenir le feu de la cheminée du favela-théâtre, tenir notre table ouverte, défricher le P.R.É…
… PLANTER DES ARBRES ! ! !
Alors ce ouikèn’de, samedi et dimanche à 15h40 pétantes, je vais encore jouer « l’homme qui plantait des arbres » de Jean Giono, je vais vous emmener le long de l’avenue de la République, longer les cités HLM, les voies du RER, traverser le campus de l’Université, regarder ce que des hommes et des femmes font avec nous depuis des années le dimanche au Champ de la Garde sur notre P.R.É.… jusqu’au feu de la cheminée de la Ferme du Bonheur, manger la soupe aux herbes du berger… Roger
« Quand on se souvenait que [cette forêt] était sortie des mains et de l’âme de [ce berger], sans moyens techniques, on comprenait que les Hommes pouvaient être aussi efficaces que les dieux… dans d’autres domaines que la destruction. » J. Giono
Réservation conseillée : 01 47 24 51 24